Après observation, l'intégration des tics au sein des institutions de microfinance n'est pas une mince affaire. Une Formation est prévue pour les utilisateursdu logiciel ADBanking, et une assistance technique sur la durée est prévue afin de s'assurer que la structure s'est appropriée le logiciel.
Il s'agût de strucuture qui généralement ne sont pas informatisées. Donc la formation est d'autant plus approffondie pour ce type d'utilisateurs.
Bien évidemment il faut informatiser les structures si l'on veut allez vers une harmonisation du travail. Une normalisation devrait-je dire car leurs méthodes sont très "personalisée. Dans le cadre de tâches de routine telle une présentation d'activité pour obtenir des fonds : il manque souvent des documents essentiels.
L'économie des marchés se concentre de plus en plus au sein du village globale. Et pour rattrapper le retard, les institutions de microfinance se doivent de s'aligner sur les méthodes de travail ainsi que d'organisation qui font les standards de la microfinance internationale.
Le premier blocage est celui de l'argent. Les structures parfois ne veulent pas investir dans leur informatisation. Or cela représente un frein important pour leur développement. En effet comment élargir sa clientèle et ses partenaires sans l'informatique pour faciliter le transfert de fichiers et construire une identité en ligne. Par le Off-line bien entendu sauf que le moyen le plus rapide de transmettre l'information reste à l'heure actuelle le média Internet via donc l'outil informatique.
Le blocage reste aussi au niveau de l'investissement à long terme. Trop pressé de voir des résultats et d'assister comme par enchantement au boom de leur chiffres d'affaires, ces institutions hésitent à investir dans des outils de travail plus adéquat. Sans vouloir attaquer Mac'Donald, le système de 1$ d'investissement pour 1 millon de dollars de chiffre d'affaire est utopique vu le retard technologique.
Peut-être mon discours est-il pro-NTIC, et manque-t-il de recule...Reste que pour produire de bons produits et/ou services il faut de bons outils.
L'outil informatique en est un, et Internet en est un autre. Dans le domaine de la microfinance, l'outil informatique est important pour plusieurs raison: la sécurité des données (plus efficace qu'un coffre-fort); le suivi automatique des dossiers en cours; la sauvegarde des données ; etc...etc. Et surtout parce qu'un outil de gestion inforamtique sait gérer plusieurs tâches à la fois.
Certes le bon vieux bloc_note et la calculatrice du comptable reste inchangeable pour certains. Malheureusement l'outil est éphémère. Et avec de nouveaux outils viennent de nouvelles méthodes de travail. Ce qui signifie que si l'on veut suivre les standards il faut que les outils avec lesquels nous travaillons nous premettent de le faire.
Ce qui signifie, que nous ne devons pas forcément sans cess renouveler les outils de travail mais les mettere à jour et savoir s'en séparer quand ils sont "has been".
Si il est une chose que l'on ne recycle pas ce sont bien les vielles bécanes informatiques et les vieux dossiers poussiéreux rongés par les termites!
Enfin pour revenir au Institutions de microfinance, le développement de ces dernières est accompagné, ici au Sénégal, depuis 1998 par Aquadev (parmis d'autres ONGs dont le premier projet est à Louga (me semble-t-il). Depuis, l'organisme est très solliciter pour venir en aide aux structures en dévelloppement afin de les aider à s'équiper matériellement et humainement.
Le développement des PMEs redonnent de l'espoir face au problème de fuite des cerveaux. Aussi l'apprnetissage de méthodes de travil standard permettent à ces structure de faire conccurence à niveau égal aux entreprise étrangère. Les mutlinationales n'étant pas les seules implantées sur le terrain.
Ceci étant, la question de l'impact des NTICs dans les structures de microfinance reste à analyser.
